25-A - Liste des recteurs de Thorigné de 1202 à 1883

Publié le par Pierre Pétour

Liste des recteurs de 

THORIGNÉ

 de 1202 à 1883[1]

 
  • Ruellan, "Ruellanus presbiter de Torigne", acheta en 1229 de Fromont Lecordoenner, du consentement de sa femme, de ses fils et du prêtre André Leberrant, une rente de 7 sols assise sur la vigne de Jarrilians, dans le fief de Saint-Melaine[2].
     
  • Guillaume de Racinoux, témoin en 1447.
     
  • Mathurin Houssin (1572 et 1612).
     
  • Julien Samson (1623) prit en 1644 le prieuré de Thorigné à ferme pour 220 livres; mort vers 1646.
     
  • Pierre Fougler fut présenté par l'abbé de SaintMelaine le 3 février 1646; il devint recteur d'Orgères en 1669.
  • Marin Gontier, ancien curé de Betton, fut pourvu[3] en juillet 1670. Mort en 1705.
     
  • Rolland de Crec'hquérault, prêtre de Quimper, présenté par l'abbé de Saint-Melaine le 6 novembre 1705, fut pourvu le 23 décembre suivant. Mourut en 1722.
     
  • Pierre-Jacques Paysant, prêtre du diocèse, fut pourvu le 21 avril 1722 et mourut en 1749.
     
  • Jean-François Huguet, prêtre du diocèse, pourvu le 20 février 1749, résigna le 28 mars 1769; mourut à Rennes le 7 février 1777.
     
  • Julien Roisnel fut pourvu le 1er mai 1769 et mourut en 1773.
     
  • Julien-René Barillet fut pourvu le 27 octobre 1773 et mourut en 1785.
     
  • François-Jean Anger, pourvu le 5 septembre 1785, demeura caché dansla paroisse pendant la révolution et fut réinstallé en 1803. Il mourut âgé de 77 ans le 10 novembre 1812. Sa mémoire est restée en vénération.
     
  • Pierre Grandhomme (1813-1814).
     
  • Pierre Guillet (1814-1820).
     
  • Louis-Pierre Anger (1821-1844).
     
  • Michel Poisson (184-1846).
     
  • N. Théard (1846-1850).
     
  • Guillaume Robin (1850-1851).
     
  • Clément Fouquet (1851-1855).
     
  • Joseph Chantrel (1855-1859).
     
  • Paul-François Patte ( 1859-1878).
     
  • Charles Barbot (1878-1883).
     
  • Jules Morand (1883-    )

 


[1] Pouillé  historique de Rennes

[2] Cartulaire de Saint-Melaine page 173.

[3] Pourvu est à prendre ici au sens qu'il avait au XVIIème siècle c'est-à-dire "mettre en possession d'un avantage", (sous entendu : de la charge d'une paroisse).

 

 

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